Quand on est consultant, freelance ou indépendant, le quotidien est souvent simple sur le papier : trouver des missions, livrer, facturer, encaisser. Dans la vraie vie, c’est surtout une succession de “petits” sujets qui finissent par prendre une place énorme : est-ce que je dois facturer la TVA ? comment je justifie mes frais ? quel statut est le plus adapté maintenant que mon chiffre d’affaires grimpe ? comment je me verse de l’argent sans faire n’importe quoi ? et surtout… comment je reste en règle sans devenir comptable à mi-temps ?
Le piège classique, c’est de gérer au fil de l’eau, puis de se retrouver avec un empilement : factures éparpillées, comptes pro/perso mélangés, déclarations faites trop tard, et un stress qui remonte à chaque échéance. Pourtant, avec une méthode simple et un accompagnement adapté, on peut garder une compta propre, lisible, et utile pour piloter.

Les 5 zones où les consultants perdent le plus de temps (et d’argent)
1) La TVA
Au début, on peut être en franchise, puis basculer en régime réel. Si ce changement est mal anticipé, on se retrouve à facturer “comme avant” alors que la TVA devrait apparaître, ou à oublier des règles sur la déductibilité. Résultat : régularisations, pénalités potentielles, et parfois une marge qui se réduit sans qu’on comprenne pourquoi.
2) Les frais professionnels
Téléphone, coworking, transport, matériel, logiciels, restaurant, déplacements… Certains frais passent, d’autres non, et ce n’est pas “au feeling”. Le vrai sujet n’est pas seulement fiscal : c’est la capacité à justifier proprement, avec les bons documents, et une logique cohérente.
3) La rémunération
Micro-entreprise, EURL, SASU : chaque modèle change la manière de “sortir” de l’argent (cotisations, salaire, dividendes, impôt). Beaucoup de consultants laissent ça de côté puis découvrent en fin d’année que l’arbitrage n’était pas optimal.
4) Les obligations et délais
Déclarations, paiements, clôture, dépôt des comptes (selon la structure), taxe sur les salaires dans certains cas, CFE… Le problème n’est pas la complexité pure, c’est la régularité. En freelance, si vous ratez une échéance, personne ne la rattrape à votre place.
5) La lisibilité pour la banque et les partenaires
Dès qu’il y a un projet (crédit immo, achat de véhicule, association, levée, ou simplement un gros client qui demande de la solidité), une compta approximative se paye cash : refus, délais, ou négociation défavorable.
L’approche “consultant-friendly” : simplicité + conformité + optimisation
Un bon accompagnement comptable pour consultant doit faire trois choses, sans blabla :
1) Mettre en conformité, vite et proprement
On part de votre situation réelle (statut, activité, flux, outils), on sécurise les bases (facturation, TVA, justificatifs, comptes), puis on remet le dossier “au standard” : traçable, justifiable, exploitable.
2) Construire un cadre qui tient dans le temps
L’objectif n’est pas d’être parfait une fois, mais d’être serein toute l’année. Typiquement : règles de classement, process simples de dépôt des pièces, catégorisation des dépenses, et un suivi régulier qui évite l’effet “fin d’année catastrophe”.
3) Optimiser sans prendre de risques inutiles
L’optimisation fiscale n’est pas un hack : c’est une stratégie alignée sur votre réalité. Selon votre niveau de revenus, votre foyer fiscal, vos projets (immobilier, investissement, embauche, création d’une seconde activité), l’arbitrage entre statuts et rémunération peut changer énormément le résultat net.
Nexco : un cabinet structuré pour les consultants (réactivité + méthode)
Nexco accompagne des indépendants et consultants qui veulent un cabinet capable de gérer le quotidien, mais aussi les moments clés : changement de statut, croissance rapide, contrôle, besoin d’un bilan propre, structuration, etc. L’idée n’est pas de vous noyer dans un jargon : c’est de rendre vos chiffres fiables, et vos décisions plus simples.
Vous pouvez découvrir le cabinet via le site de Nexco
Et si vous voulez un aperçu très concret de l’accompagnement dédié, voici la page dediée aux consultants.
Une base officielle à garder sous la main
Quand un doute persiste sur un point réglementaire (déclarations, cotisations, formalités), gardez toujours une source institutionnelle comme réflexe. Par exemple, le site officiel de l’Urssaf centralise de nombreuses informations pratiques pour les indépendants : https://www.urssaf.fr/
Conclusion : l’objectif, ce n’est pas “faire la compta”, c’est être libre
Un consultant performant, c’est quelqu’un qui protège son temps et sa marge. Une comptabilité bien tenue n’est pas une contrainte : c’est un outil de tranquillité, de pilotage, et souvent d’optimisation. Si vous avez l’impression de subir l’administratif ou de “bricoler” au fil de l’eau, le meilleur moment pour remettre le cadre au propre, c’est avant que ça devienne urgent.